À propos de ma vision des choses
Je n'ai pas cherché à publier mes notes, ni mes réflexions, et ne le ferai pas, non seulement parce qu'on ne m'a rien demandé, mais parce que je ne suis pas ici pour perturber l'ordre des choses ni entrer en conflit, considérant que la vie est déjà suffisamment difficiles que pour en rajouter une couche, en posant en plus un problème à des gens qui ne veulent pas en entendre parler. J. Waken

La photo ci dessous représente selon les égyptologies le Roi Mykérinos (Mycerinus) et la reine, en 2490–2472 av. J.-C., ( statue exposée au musée des beaux-arts de Boston (Museum of Fine Arts) dans le Massachusetts, un des plus grands musées des États-Unis, mais que penserait-il si je donnais ma propre vision en ce sens que , selon moi, cette statue ne représente pas Mykérinos car le statuaire attribué à ce personnage est en pierre très dures comme le granit. Or les Pharaons ne disposaient pas d'un outillage permettant de sculpter des pierres d'une telle dureté. Celle-ci serait en grauwacke, bien que sa dureté ne soit pas clairement définie sur l'échelle de Mohs, conçue pour évaluer la dureté des minéraux individuels. La grauwacke est une roche sédimentaire généralement considérée comme une roche dure, avec une dureté allant de 6 à 7 sur l'échelle de Mohs
Il s'agit, selon moi d'une représentation très ancienne et qui remonte bien avant les dynasties pharaoniques de la constellation des Gémeaux.


Voici un exemple.
Une vision différente
L'ère des Gémeaux (env. 6000 à 3500 av. J.-C.) placée sous le signe de la dualité : les Guerres Elémentaires débutent et vont perdurer. (L'Arcane de l'Epée était né dans l'âge du Cancer ), un cycle parmi tant d'autres dans une succession ininterrompue depuis la nuit des temps, donc de quelle époque parle-t-on ici ? et de combien de dizaines de milliers d'années avant l'an zéro établi par les romains ? Les cycles de précessions des équinoxes se poursuivent inlassablement ! C'est une boucle sans fin. cela devrait être une unité de mesure.
Je veux bien croire que "Tefnout" était la déesse de l'humidité et des nuages; la fille de Rê, la sœur et l'épouse de Shou. Si Tefnout est la première divinité féminine qui apparait dans l'univers, elle est à la base , avec son époux Shou de la procréation sexuée du monde. Les anciens antédiluviens avaient une conception très différente de la nôtre qui nécessite un déconditionnement total , je pense. Nous devrions changer de lunettes !
Dès que le grand public aperçoit cette photo de gauche, on l'informe que cette statue découverte en 1910 représente Mykérinos et de son épouse, la reine, déduction simpliste d'égyptologue, mais honnêtement, personne ne sait qui sont ces deux personnages ni dans quelle roche elle a été travaillée.
Ces propos n'engagent bien entendu que leur auteur. C'est une réflexion personnelle sans prétention ni recherche de reconnaissance. Après tout, ces pharaons utilisaient peut-être une technologie ultra secrète....
Lorsque je visite un musée, j'avoue lire les commentaires sans trop m'y arrêter préférant forger ma propre opinion. Mon parrain m'y emmenait souvent alors que j'étais haut comme trois pommes et je le harcelais de questions.
La "vérité" se cherche dit-on, et la réflexion est un bon exercice contre ce que les hommes qualifient de « pensée unique », bien que rien ni personne n'oblige le public à penser de cette façon.
Je ne pense pas qu'il souhaite qu'on lui pose un problème, bien au contraire, ce qui pourrait expliquer le choix de la facilité ?
Bien que je ne me sois pas encore réellement intéressé au statuaire du panthéon de l'ancienne Egypte, j'essaie modestement de décoder, comprendre ce que les anciens ont voulu montrer, persuadé qu'il ne s'agit nullement d'un album en pierre ni du culte de la personnalité, mais plutôt un hommage au « ciel ». Le "culte de la personnalité" me semble être plutôt une dérive des « temps modernes » pour imposer le leader d'un régime totalitaire à vénérer comme un dieu vivant adulé par une population crédule et craintive et trop souvent au détriment des intérêts de sa propre collectivité.
Je vois donc un polymorphisme iconographique et non des portraits authentiques des pharaons ou gouverneurs égyptiens de l'antiquité.
Le corps ne symboliserait-il pas le paradoxe de la matière en mouvement dans une d'immobilité apparente comme semblent l'être les astres cependant animés de vie, en mouvement et en progression constante ?
Je pense aussi que cette statue jumelée est une image métaphorique de ce que les anciens qualifiaient de « petits mondes », une certaine dualité, voire un double, le Ka matérialisé d'une espèce vivante.
Les animaux représentés un peu partout sont à mes yeux des constellations dont certains n'apparaissent plus. C'est peut-être de là que sont nés mes doutes quant à la durée d'un cycle de précession...
L'absence d'inscriptions sur certaines statues comme celle représentée sur cette page fit dire aux égyptologues que la statue était inachevée bien qu'ils avouent tout de même leur incertitude à cet égard. Personnellement, je respecte les personnes qui avouent leur doute. Je laisse le soin aux médias pour ados de leur « dire toute la vérité »
En admettant que cette statue n'est pas en diorite, elle est tout de même en pierre très dure.
C'est la représentation de la constellation des Gémeaux. Nous avons effectué une superposition d'image par transparence et il apparaît que les deux sont parfaitement identiques au niveau des traits. Pratiquement jumeaux.